a-lombre-de-vos-sourires

Moi. Ma vie.Ou pas. Entre fiction et réalité,vous êtes ici chez moi.Photos et textes sont miens. Sinon, c'est précisé ;) Bienvenue et bonne visite. Bisous à tous.

Vendredi 10 juillet 2009 à 21:37


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J'aime le perpétuel duel
entre le brun et le vert
au coeur de ses yeux.



A défaut de ses yeux qui parfois sont bleus aussi, je vous laisse avec les miens :p


Dimanche 5 juillet 2009 à 11:46

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Les mots sont partis. Envolés.

En voyage?
Les mots ont mis les bouts. Incapacité à les mettre bout à bout.
Ils m'ont tirer leur révérence. Comme ça, sans préavis. Sans prévenir.

Vivons et on verra bien demain.

Jeudi 18 juin 2009 à 14:10

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J'aurais voulu que tu puisses nous rejoindre en temps et en heure, la ville lumière et moi. Que tu me demandes pour la millième fois mon digicode avant de pousser ma porte. Qu'une fois tes bagages déposés chez moi, on aille esquisser les contours versatils de notre histoire sur les quais. Qu'après quelques verres de manzana et des litres de rires à gorge déployée, nos mains se confondent. Que nos souffles se cherchent. Et que nos bouches se trouvent. Qu'on reste là, les pieds dans l'eau, peau contre peau à regarder passer les bateaux. Qu'on s'éclabousse. Qu'on se trempe. Qu'on se noie. Qu'on se réchauffe. Rentrer chez moi, sans marcher droit. Se fondre sous les draps. S'apprendre. Te découvrir. Ton corps entre mes doigts. Le goût de ta peau sucrée et bronzée au creux de ma bouche. Nos sourires qui s'embrassent. Nos corps qui s'embrasent. Se sentir bien. N'avoir envie de rien. Nous faire vivre enfin. Ne plus avoir peur d'exister. Se laisser le droit de s'aimer.


 

J'aurais voulu mais au jour d'aujourd'hui, je ne veux plus...=)

Lundi 15 juin 2009 à 21:55

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Besoin d'exister. Ici ou là. Dans ses bras à lui ou pas. Au bord de leurs sourires. Dans le creux de leur rires. Entre les lignes de leur bonheur. Dans la valse de leur pleurs. Au fin fond de leur peurs. De leur coeur. Je me sens seule. Je me sens lasse. Je ressasse. Rengaine lancinante. Refrain trop entendu. Trop vécu. J'en peux plus. J'en peux plus de ces jours où je me sens moche et conne. Insignifiante. Mal-aimée. Où j'ai l'impression que la vie se joue de moi. Où personne ne se soucis de moi. De ce vide qui me donne le vertige du haut de mes vingt et une piges. Usée par cet cet amour qui déborde. Celui-là même que j'aimerai distribuer par poignées. Oui mais à qui? Qui en voudrais? Qui me supporterais? Qui supporterais-je? Est-ce qu'on ne m'aimera plus jamais? Quand est-ce que ça va finir les pleurnicheries. Les retours sanguinolents. A bout de souffle. Lacérée. Écoeurée. Je ne suis que ma propre victime. Et j'en peux plus de voir tous ces gens qui sourit. Et moi au milieu qui me sens obligé de suivre la danse. Je me force. Peut-être que comme ça, ça viendra. Qui sais ?J'ai honte d'aller mal. Et de ne pas avoir de raison particulière à ça. Je ne marche pas toujours droit, mais je met tout de même un pied devant l'autre. Alors de quoi je me plains? Pourquoi certains jours, je tend encore la main. Agonisante. Pourquoi ces crises d'angoisses perpétuelles. Qu'est ce que je cherches à me prouver? Qu'est ce que j'ai besoin de me prouver? Dès que les gens vont bien, j'ai l'impression qu'il lâche ma main et me font signe au loin. Pourquoi? Pourquoi faut-il que je me mette toujours dans des états pas possibles? Et ce le plus souvent, pour des imbéciles. Pourquoi je ne sais plus faire confiance? Pourquoi tant de méfiance? D'où me vient cette impression que le monde tourne très bien sans moi? Peut-être qu'à mon âge, chacun se crée sa propre bulle. Une nouvelle esquisse de vie. A deux. Un petit monde bien à eux. Sauf que dans mon petit monde à moi, il n'y a que moi. Moi et le bruit du silence qui devient tellement oppressant quand il dure trop longtemps. J'ai froid. J'ai faim d'amour et de vie. Et même alors que j'écris on dirait que je me noie. Je bois seulement la tasse à quelques occasions. Mais l'eau salée m'écoeure et me pique les yeux. Tout n'est pas gris, mais parfois j'oublie. Parfois je tremble. Parfois je tombe.

Jeudi 11 juin 2009 à 12:25

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Je hais ces écrans entre vous en moi. Le chat. Le télephone. Les sms. Les mails. Et même l'encre sur la feuille. Je hais tout ces miroirs qui me laissent vous entrevoir. Dans lesquels on se vit à demi.
Besoin d'entendre vos voix. De vous serrez tout contre moi. Entendre raisonner vos rires. Voir vos yeux qui brillent. Vous sentir là. M'abreuver de vos joies. Marcher en tenant votre main. Se comprendre dans nos silences.
Vivre.Sentir. Toucher. Goûter. Entendre. Voir.
J'en ais marre.
En manque de vous.



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