a-lombre-de-vos-sourires

Moi. Ma vie.Ou pas. Entre fiction et réalité,vous êtes ici chez moi.Photos et textes sont miens. Sinon, c'est précisé ;) Bienvenue et bonne visite. Bisous à tous.

Dimanche 13 avril 2014 à 14:25

 Reste ici petit bout de ma vie!

Lundi 10 mai 2010 à 14:10

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 Je m'en vais voir ailleurs si j'y suis...
Qui m'aime me suive :p
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Mercredi 7 avril 2010 à 0:00

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Article brouillon...Tout écrit en vrac...Sans effort de style...Mais voilà, c'était chouette de prendre le temps de mettre tout ça sur le papier ;)


Et je m’en fiche après tout. Je crois que je ne me suis jamais sentie autant en vie que ces derniers mois. Jamais senti aussi près de mon idéal de vie. De ce à quoi j’avais envie de ressembler.  C’est fou. Même si je ne sais pas quoi faire de moi l’an prochain. Demain ? Je sais pas bien. Même si mon mémoire bas sérieusement de l’aile.  Même si personne ne sert ma main dans la sienne.
Même si tout est un rien bancal, je vais bien. Je vais fabuleusement bien. Je me sens libre. Libérée. Une envie folle d’avancer. De vivre chaque seconde pour ce qu’elle est. Et rien d’autre. 

J’ai fait des listes à l’infini pour parer au vide qui s’installe. Avec des trucs aussi bête que ‘Ne plus prendre l’ascenseur mais les escaliers pour rentrer à la maison.’ C’est un but comme un autre non ?

J’ai décidé de continuer à virevolter à droite à gauche sans bien savoir où je vais, ni avec qui. Parce que c’est comme  ça que ça me va.

Parce que j’en veux encore.

Je veux encore de ces goûters nocturnes avec lui, à sortir une bouteille de bon vin rouge et les petits écoliers de Lu à 1 heure du matin devant Nikita. Encore des soirées avec elle à gribouiller des post-it-arc-en-ciel et rire devant Madagascar ou juste devant l’étendu de notre connerie. ‘Y a des jours où il ne vaut mieux pas croiser une huitre.’
Lui faire la cuisine à elle, un midi par semaine et oublier de lui offrir son kinder surprise à pâques. Passer une nuit à papoter sur msn avec elle après des mois de silence, et me rendre compte qu’elle me manque.
Ce que j’aimai aller manger des haribos chez elle le soir. Et puis ce soir-là où j’ai débarqué au bord de l’hystérie, mes cours pour le partiel du lendemain à la main. Ce soir-là où j’avais pour projet de manger patiemment chacune de mes feuilles, en espérant qu’elle s’imprime quelque part en moi. J’avais sans  doute alors trouvé plus judicieux d'aller frapper à sa porte.

Faire de mon appartement un hôtel de fortune pour les voyageurs de passage. Ceux  qui préviennent la veille, où deux heures avant qu’ils vont passer quelques jours à Lyon. 
Faire entrer un peu de Paris chez moi et jouer encore avec ses doigts sous la table au Mac Do. L’embrasser et lui trouver un goût de colza grillé. Comme l’huile à la maison. Avoir l’impression que quand sa bouche se pose sur la mienne, je mange une salade un dimanche chez mes parents. Et en sourire. Le laisser en plan juste avant l’heure de son train et sauter dans le tram qui passe. Lui laisser un baiser en souvenir. Mais rien d’autre. J’ai trop besoin de ma liberté.

Aller me balader avec lui dans nos campagnes. Rire de toutes les misères que lui font ses élèves parce qu’il vaut mieux ça qu'en pleurer mais aussi parce qu’il faut bien leur reconnaître une folle imagination. Parler de ce comptage printanier des papillons. Et de ses scèances de pendules chez Madame Tatou. Et sourire en majuscule de la diversité de mes amis. De leurs folies personelles qui les rend tellement exceptionnels. Rentrer tremper à nouveau, tout ça parce que j’ai couru après la pluie et les arcs en ciel pour les emprisonner sur la mémoire de mon appareil photo.

Sauter encore dans la mer en plein moi d’octobre toute habillée. Mêler mon rire au sien. Lui faire des cœurs en fraises tagada et des gâteaux au chocolat. Lui déposer encore milles livres et post-it-colorés dans son sac. Ne jamais m’arrêter de lui envoyer des cartes postales dès que l’envie m’en prend. Aller me coudre une robe-d’été-tout-comme-je-veux chez ma grand-mère sans tarder. Nous vouloir un peu plus au présent parce que j’ai l’impression que ça fait milles ans qu’on ne sait pas vu et j’ai des envies de te fredonner ‘Mistral gagnant’ au creux de l’oreille. Te gribouiller des mots-tendresse sur les bras. Ces bras dans lequel je me sens toujours un peu chez moi, peu importe la main de qui tu tiens. Tu reste un repère dans ma vie. Un de mes repaires préférés.

L’inonder de mails, parce que lui écrire, c’est tellement chouette. Quand est-ce que tu viens visiter la France ? Retourner courir sur les quais en pleine nuit avec lui et rester coincée dans les pavés à cause de mes talons. Pis se moquer du pauvre cygne mutant et des passants. Le rejoindre dans le énième pays où il s’est exilé avec son amoureux. Dis, tu ne veux pas aller en Australie l'an prochain? J'ai envie d'aller voir les kangourou ;) Reprendre l’avion parce que j’adore ça.  
Encore des fêtes, des rires, des nuits blanches, des sourires...

Passer du temps avec vous tous, avec tous ceux que je n’ai pas encore rencontré. Allez de l’avant, faire des projets, des n’importe quoi, des trucs qui tiennent pas trop droit mais qui puent le bonheur.
Rire.Sourire. Vivre.

Autant vivre au présent vu qu’apparemment c’est le seul temps dont je connais à peu près les accords.  

Samedi 3 avril 2010 à 19:18



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Tu. Je. Tue. Nous. Fuis. Jeu. Nous. Je. Je ne sais plus. Tu. Tu m'égares.

C'est quoi ce brouillard de tendresse qui nous entortille à longueur de temps? Est-ce que je suis la seule à t'apercevoir au travers?
Est-ce que tu mens? Est-ce que tu m'envisages? Est-ce qu'on est trop sage?
L'envie de te croquer le coeur. La peau. Te saupoudrer tout entier d'étoiles filantes. T'écrire un arc-en-ciel au creux des reins.
T'avoir tout près. T'avoir trop près.

Tu. Je. Tue. Nous. Fuis. Jeu. Nous. Je. Je ne sais plus. Tu. Tu m'égares.

Samedi 3 avril 2010 à 19:07

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En fait je me plains de tous ces gens-mystères, ces gens-points-d'interrogations, cyclotimiques-à-souhaits...
Mais la fille-courants-d'air, celle-qui-ne-s'attrappe-pas dans l'histoire, c'est bien moi.

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